Quand le karma t'en veux depuis trop longtemps... (ft. Piotr)

Quand le karma t'en veux depuis trop longtemps... // @Piotr Echtzkoveri ※※※ Tu maudis ta maladresse et ce fichu ascenseur qui n’avait pas su s’arrêter à niveau correctement. Te voilà encore plus humiliée que tu ne l’étais déjà face à ce garçon. Tu avais mal, car tu n’avais pas tombé qu’à moitié. Néanmoins, c’était ton cœur qui souffrait le plus. Il avait ravivé la douleur, éveillé tes anciennes blessures. Tu étais plus qu’écorchée et voilà que cet inconnu venait de rajouter une entaille sur ce dernier. Tu revoyais toutes tes relations passées; tu n’étais pas destinée à vivre une histoire simple, voire d’histoires tout simplement. Tout ce que tu connaissais au bout du compte, c’était la douleur et la déception. Voilà pourquoi tu fuyais toujours. Tu voulais te protégée, car tu en avais déjà suffisamment vécu. Ton corps ne s’était pas encore remis des coups et tu te souvenais toujours de ces nombreuses mains sur ta peau qui t’horripilaient. Ton esprit, lui, ne s'était pas remis des insultes et du chantage. Tu avais perdu toute confiance en ce monde, en toi... et parfois même en la vie. Parce que tu étais incapable d’oublier. Pourtant, cette fois-ci, tu avais laissé tomber ta garde pour lui; ce garçon que tu venais juste de rencontrer. Tu t’étais ouverte à lui bien plus que tu ne t’étais ouverte avec des gens plus proche de toi. Voilà pourquoi tu en étais là, coucher de tout ton long sur le sol comme la pire des idiotes. Tu tremblais de rage et tu refoulais ton envie de crier. Tu te refusais de le regarder, lui qui venait de prononcer ton nom. Il restait planté là, debout, pendant que toi tu étais presque K.O. « Pourquoi me suis-tu? Parce que ça t’amuse peut-être? » Tu te relèves tant bien que mal. Ta voix était légèrement saccadée par ta colère, mais tu finis par lui jeter un regard noir. Tu en oublies que c’était son étage. En effet, tu avais placé ta logique de côté. Seul ton cœur vexé s’exprimait pour toi.

Quand le karma t'en veux depuis trop longtemps... // @Piotr Echtzkoveri ※※※ Il répète sa question, mais il ne te répond pas pour autant. Il semble s’en vouloir et s’inquiéter pour toi. Cependant, tu as fait confiance une fois, tu n’as pas envie de le faire une deuxième fois. Tu pleures semble-t-il, car il te demande d’arrêter. Tu portes alors une main sur ton visage pour sentir l’eau qui coulent. Tu ne t’en étais pas rendu compte. Tu essuies alors rapidement ces larmes qui t’on trahie du revers de la main. Tu désires rester forte, montrer comment tu es solide comme un roc. Pourtant, tu le sais bien que ce n’est qu’une façade. Il a dû le comprendre aussi, mais tu cherches néanmoins à sublimer les apparences. Tu refuses de lui montrer cette partie de toi, car tu ne la montre à personne. Pas même Roxanne, ta sœur de cœur. Tu lui jettes toujours ce regard froid, mais tu refoules cette envie de l’envoyer balader, voire même de le frapper. Ce n’est pas l’envie qui manque pourtant. Tu sais te maîtriser un temps soit peu. Tu restes alors droite face à lui, mais tu ne bouges pas. Les rares personnes qui passent prêt de vous vous regarde comme si vous veniez d’une autre planète. C’est peut-être le cas. Tu ne leur prête pas attention. Le monde n’existait plus autour de toi. Il n’y avait que lui qui te faisait face. Il cherche alors à plonger son regard dans le tien, mais tu lui fermes ton âme cette fois-ci. La dernière fois que tu avais donné une seconde chance, ton corps en avait payer le prix. Et bien que Piotr ne ressemblât en rien à ton ex, celui qui avait bousillé qui tu étais, tu ne pouvais pas passer outre ton passé et gravir toutes ces montagnes qu’étaient tes obstacles. « Quoi? » lui demandes-tu, levant le ton quelque peu, impatiente. « Qu’attends-tu de moi au juste? Comptes-tu répondre ce coup-ci ou tu t’enfermes encore dans ton silence? » Tu le regardes, avides de savoir comment il allait gérer votre situation. Tu voudrais savoir ce qu’il y a dans sa tête, car tu as de la difficulté à le suivre. Tu lui en veux.

Quand le karma t'en veux depuis trop longtemps... // @Piotr Echtzkoveri ※※※ De tous les scénarios que tu avais pu te faire dans ta tête, celui-ci n’en faisait pas partie. Comme quoi ce Piotr était plein de surprises les plus déstabilisantes les unes que les autres. Te voilà qui ne savait plus où donner de la tête. Il venait d’oser… Il avait ignoré toute tes questions et te laissait là en plan. Une gifle, le pire vent de tous les temps que tu venais de te mériter. Tu restais donc sur place, immobile, toujours sur le choc, à le suivre des yeux. Lui qui s’éloignait dans ce corridor pour disparaître dans une des chambres de l’hôtel. Parce que cet étage, c’était le sien. Tu ne pouvais cacher ton expression sur ton visage. Tu étais outrée, voire insultée davantage. Pour qui se prenait-il? Tu aurais pu partir toi aussi, laissez cette histoire derrière vous et passer à autre chose, mais non. C’était impossible. Il y avait cette force qui te forçait jusqu’à lui malgré toi. Puis, tu ne comptais pas le laisser s’en tirer à bon compte. C’était alors d’un pas décidé que tu t’étais ruée vers sa chambre avant qu’il n’ait eu le temps de fermer cette dernière. Tu t’étais faufilée avant qu’elle ne claque, poussant ainsi le garçon derrière contre le mur. Tu claquas alors la porte avant de lui faire face, prête à lui faire part de ta façon de penser. Tu ne donnais pas cher de sa peau. Tu étais furieuse. Et pourtant… Aucun son ne sortie de ta bouche lorsque tu lui fis enfin face. Il venait encore de te laisser perplexe. Tu n’y comprenais plus rien et tu en eus le ventre tout retourné. Il pleurait? Le silence s'était à nouveau installé. Te voilà bien brillante maintenant, Noah. Qu'est-ce tu vas faire maintenant? « Mais… » Ton expression faciale s’était adoucit légèrement. « C’est moi qui doit pleurer, pas toi… Tu m’enlèves ça aussi? » Cette dernière question, tu l’avais dite en riant, mal à l’aise. Avais-tu dit ou fais quelque chose de mal sans t’en rendre compte? N’était-ce pas quoi qui avait été blessée dans toute cette histoire? « Eh merde… de merde, de merde… Je vais devenir folle !» Tu commenças à faire les quatre cents pas dans la chambre, te frappant les joues pour te réveiller. Tu ne rêvais toujours pas.  Tu ouvris alors ce fichu mini-bar. Qu’il paie, il te le devait bien pour te faire perdre la tête à ce point. Tu lèves les yeux au ciel, constatant qu’il ne s’agissait là que de petit format de bouteille. « Mais c’est quoi ces échantillons! » Tu refermes le bar, puis lance une bouteille à Piotr, avant d’ouvrir la tienne. Il avait hérité de la tequila et toi du rhum épicé. Tu posas alors ton regard dans le sien. Tu étais plus calme vu la situation, mais ton sang bouillait toujours dans tes veines. « Tu n’as toujours pas répondu à la première question. Pourquoi? » Tu ressentais cette fâcheuse envie de sauter sur lui et l’embrasser encore. Tu ne te comprenais plus. Que voulais-tu finalement Noah? Tu te posais la question pendant que tu te rapprochais lentement de lui, le coinçant graduellement au coin du mur.

Quand le karma t'en veux depuis trop longtemps... // @Piotr Echtzkoveri ※※※Sa réponse résonne dans ta tête. Tu as l’impression d'avoir cogner celle-ci durement quelque part parce que, ses paroles, tu ne les as jamais entendus de la part de personne d’autre à ton égard. Et pourtant, des souffrances, on t’en avait infligés des myriades. Tu cherches à comprendre pourquoi il te dit ça, voire si tu as bien entendu, car au moment initial, lorsque tu avais posé cette question, tu voulais connaître la raison de son hésitation soudaine. Rien d’autre. Il ne t’avait pas encore blessé à ce moment-là. Tu continues à t’avancer vers lui et tu le regardes boire dans la bouteille que tu lui avais lancée. Tu ne t’arrêtas qu’une fois que vos deux corps se frôlèrent, se touchèrent presque à nouveau. Tu levas la tête vers lui, le fixant de tes yeux bleus. Tu essuies ses larmes d’une main. Tu te veux douce. « On se calme papillon… » Tu lui souries. Parce que vous êtes ridicules et tu le sais. Vous ressemblez à un vieux couple qui vient d’avoir leur première dispute. Pourtant, vous n’êtes rien de ça. Vous n’êtes pratiquement rien l’un pour l’autre quand on y pense… Ne serait-ce que des inconnus avec une étrange connexion dans un ascenseur. Et tu le ressentais à nouveau cette connexion. T’étais peut-être masochiste sans le savoir, il n’y avait pas d’autres explications. « Et pourquoi ne pas simplement t’excuser alors… on était pourtant bien avancé, non? » Tu fais allusion à son torse nu ainsi qu’à toi qui n’avait pas songé à remettre ton haut. Tu repenses à cette passion subite de vous aviez eu quelques minutes plus tôt. Ta tête est en désaccord avec tes mouvements, avec ton cœur qui cherche à se rapprocher à nouveau de lui. Elle te crie d’arrêter, de t’en aller. Tu n’écoutes pas. Tu voulais connaître la suite et il y avait ce présentiment que si tu partais, tu allais manquer quelque chose de grand. « Alors excuse-toi. Qu'est-ce que tu attends. » Tu n’as toujours pas bougé. Tu attends sagement. Tu ne fais que poser tes mains sur son torse et tu y sens ses battements cœur contre ces dernières.

Quand le karma t'en veux depuis trop longtemps... // @Piotr Echtzkoveri ※※※ Voilà qui était mieux. Il parlait enfin et tu pouvais entendre à nouveau le son de sa voix ainsi que son accent étranger. Tu souries davantage et tu te sens rougir lorsqu’il se penche lentement vers toi. Tu as soudainement chaud, des frissons sur la peau. Il prenait la peine de demander, cela te faisait plaisir, mais tu devais avouer que tu n’avais qu’une envie… Tu voulais qu’il t’embrasse maintenant, qu’il te soulève de terre et que vous oubliez ce qui venait de se passer. Tu voulais reprendre là où vous en étiez. Parce qu’il n’y avait rien à comprendre, mais rien que le moment à vivre. Vous deviez clairement être fous tous les deux. Chacun à sa façon, certes, mais fous à liés néanmoins. Et c’était peut-être cette même folie qui vous avait rapprochée, voire attirée. Or, s’il avait besoin d’une permission, tu la lui donnais volontiers. Tu hausses alors les épaules, accompagné d’une petite moue taquine. Tu joues l’innocente, mais tu sais très bien que tu ne l’es pas. Tu es même loin de l’être. Si seulement il savait tout ce à quoi tu pensais à ce moment même. Peut-être le savait-il tout autant que toi, rien qu’à force d’analyser le regard que tu lui jetais. « Je sais pas… Surprends-moi? » Ton regard brille de malice, tu aimes jouer avec lui. Parce que vous savez tous les deux de quoi il est question. Cependant, tu ne veux pas faire le premier pas. C’est à lui de le faire cette fois-ci. Alors tant mieux pour lui, car tu sais te montrer patiente. Tu recules alors de quelques pas, tranquillement, tu te laisses désirer. Ton corps entier semble l’appeler.

Quand le karma t'en veux depuis trop longtemps... // @Piotr Echtzkoveri ※※※ Ce regard que tu lui jettes, tu désires clairement jouer avec lui. Tu as envies qu’il s’amuse aussi avec toi, parce que tu vous ne pouvez pas nier cette attraction entre vous. Si ce n’était que pour le temps d’un instant, alors soit, qu’il en soit ainsi. Mais cet instant avec lui, tu le ressentais et tu le désirais. Il animait toute ton envie qui, elle, faisait tressaillir ton corps tout entier. Tu bois d’un coup ton rhum, car l’alcool n’a plus le même effet sur toi que jadis. Tu y es devenue tolérante et à force de travailler dans un bar, tu n’avais d’autre choix que de l’être. Toute ta gestuelle l’appelait à toi; tu n’avais pas besoin de placer des mots pour qu’il te comprenne un minimum. Tu n’avais qu’à attendre qu’il vienne alors. Ce qu’il fit dans un élan qui te fis sans attendre. Tu rias légèrement et tu l’imitas, terminant ta bouteille en la jeta sur la moquette toi aussi, parce qu’il t’avait bien fait rire en le faisant. Déjà, tu frissonnas lorsqu’il te saisit la nuque d’une main et le dos de l’autre. Il t’attire à lui si fort que tu manquas perdre pieds, mais tu ne dis rien, trop occupé à plonger tes lèvres dans les siennes, à le laisser t’embrasser de la sorte. Et puis il était là, ses bras et tout son corps à te soutenir. Cette fougue, tu ne la lui connaissais pas. Cette douce violence qui s’emparait de lui, elle aussi était différente. Et mieux encore, cette dernière ne te faisait pas peur. Or, te faire jeter sur le lit aussi brusquement de ne te perturba pas. Au contraire, tu semblas en redemander. Tu te mordais la lèvre en reculant légèrement sur le matelas. Tu le regardais s’approcher, mais il t’avait déjà rattrapé. Il était sur toi, poursuivant ses baisers. Tu pouvais sentir vos respirations se saccader. Et pendant que ses mains caressaient le haut de ton corps et que tu perdais les tiennes dans ses cheveux et son dos, tu laissas échapper un gémissement silencieux de plaisir. « Ce sont de bonnes excuses, je te l’accorde… » Laisses-tu échapper entre chacun de ses baisers, reprenant ton air comme tu le pouvais. Cette fois-ci tu priais pour qu’il ne s’arrête jamais. Tu aimais beaucoup trop cette sensation qu'il t'apportait.

Quand le karma t'en veux depuis trop longtemps... // @Piotr Echtzkoveri ※※※ Tu t’abandonnes à ses baisers et tu sembles perdre le fil de la réalité. Tu en oublies ce fichu portefeuille, la véritable raison de ta présence ici. Tu en oublies aussi le fait que ce garçon, tu ne connais rien de lui. C’était un pur inconnu et tu t’ouvrais à lui de la sorte. Ça ne te dépaysait pas, car tu avais un passé aux mœurs douteuses. Tu en avais un peu honte parfois. Cependant, il y a quelque chose de différent cette fois-ci. Tu ignores quoi, mais tu le sens, c’est tout. Il te faisait cet effet que tu peinais à expliquer. Ce garçon n’était pas comme les autres; il n’aurait pas eu ces quelques larmes sur ses joues auparavant sinon. C’est d’ailleurs quelque chose qui te rassurait et qui calmait ton esprit. Tu te convaincs alors qu’il est un type bien, le contraire total de ton ex. Tel que le jour et la nuit. Tu en oublies tout autour de toi et tu ne vis que pour ce moment présent dans cette chambre avec lui. Tu ne comprends pas non plus comment toute cette histoire à pu tourner de cette façon. Mais tu t’en fiche, car tu as l’esprit ailleurs. Tu te dis que tu dois être folle, mais diable que tu adores cette folie. En effet, votre courte histoire est hors du commun, mais attirante à la fois. Elle éveillait tes sens d’une façon bien particulière. C’était peut-être même trop parfait pour ta petite tête qui était habituée au mélodrame. Or, s’il y avait anguille sous roche, tu ne voulais rien savoir. Pas maintenant. Pas tout de suite, non.  Tu préférais te concentrer sur ses caresses sur ta peau et oublier tout le reste. Il te faisait languir, mais tu profitais néanmoins du moment. Tu savais te montrer patiente parce que déjà, parce qu’il t’offrait, c’était bien plus que tu n’aurais pu demander. Sa douceur soudaine ne te tracassa pas. Au contraire, tu l’aimais elle aussi. Tu te laissais guider, te contentant de suivre ses élans de ta fougue habituelle. Tu te délectais de son corps sculpté au couteau, ne sachant plus où aller placer tes mains qui s’agrippaient à lui comme si ta vie en dépendait.  Tu ne voulais pas qu’il s’arrête cette fois-ci. Tu ne le supporterais pas une seconde fois. Tu portes alors une main sur ses abdominaux, descendant à nouveau pour reprendre là où vous en étiez dans l’ascenseur. Tu souries entre chaque baiser et fini par défaire le premier bouton de son pantalon.

Quand le karma t'en veux depuis trop longtemps... // @Piotr Echtzkoveri ※※※ Tu as chaud, voire la tête qui tourne. Tu as à peine bu, mais c’était comme si tu étais ivre. Car oui, tu t’enivrais de lui au point d’être en état d’ivresse. Tu as le rouge aux joues sous ses baisers et tu en redemandes. Tu cherches à obtenir davantage de lui. Encore plus, beaucoup plus. Parce que tu ressens ce besoin, cette envie, ce désir profond de vivre cet instant avec lui, cet inconnu aux multiples facettes qui te déstabilise. Ces mains sont là à toucher ton corps d’une douceur qui t’es pratiquement étrangère… Elles ne te violentent pas, pour une fois. Ces mains ne sont pas sales non plus. Parce que tu as choisi d’être où tu es et tu ne ressens aucun dégout à être là avec lui. Tu acceptes mêmes sa présence si près de ton intimité et tu lui ouvres lentement une porte vers ton âme fragile, brisée. Tu lui offres ce privilège sans même penser que tu risques peut-être d’en souffrir. Mais à quoi bon? Pour ne serait-ce qu’un moment à te sentir désirée, te faire aimer de la sorte, tu étais prête à tout endurer. Parce qu’à savoir pourquoi, tu ressentais au fond de toi que vous étiez semblables… Vous étiez l’un pour l’autre un pansement sur le cœur de l’autre. Un voile sur l’esprit. C’est là qu’il s’arrête, mais tu n’en es pas offusquée. Au contraire, tu plonges ton regard océan sur l’émeraude de ses yeux. Une autre chose que tu sembles aimé chez lui. Tu cherches ton souffle, mais l’expression sur ton visage lui permet de lire en toi comme dans un livre ouvert. Tu déposes alors une main sur sa joue avec tendresse. Tu ne te souvenais pas de la dernière fois que tu t’étais senti ainsi. Tu étais étonnement bien. Pour une fois, depuis si longtemps. Tu te faufiles alors délicatement sous son corps, et tu enlèves à ton tour tes pantalons qui retombe au bas du lit. Tu possèdes cet éclat dans le regard. Ce dernier semble le remercier silencieusement de ne pas te blesser.